Si vous connaissiez mes péchés, il n'y aurait pas deux qui m'auraient suivi, et vous auriez
jeté de la terre sur ma tête. Et certes, j'aurais aimé qu'Allâh me pardonne ne serait-ce qu'un de mes péchés et que l'on m'appelle Abdoullâh Ibn Rawtha.»
« Le croyant considère ses péchés à l’image de celui qui, assis sous une montagne, redoute
qu'elle ne s'écroule sur lui. Quant au pervers, il les considère à l’image d’une mouche qui lui passe sous le nez et qu'il chasse d’un geste, comme cela. »– c'est à dire avec sa
main.