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« On ne connaît pas la vérité par les hommes, mais connais donc la vérité, et après tu connaîtras ceux qui la suivent. »


"J'ai pleuré. Pleuré. Pleuré."

Publié par convertistoislam - l'islam pour tous sur 9 Décembre 2012, 22:55pm

Catégories : #TEMOIGNAGES RECONVERTIS

assalam 'aleikoum

Un petit extrait d'une autobiographie qui m'a rappelé des souvenirs.

 

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2828091304_1.jpg[...] "Je me suis empressée d'aller vérifier sur internet les informations que je lisais (dans le Coran), à savoir la création du lait, le développement embryonnaire, et j'ai trouvé dans les paroles de scientifiques ce que je lisais dans le Coran, j'étais émerveillée. Je m'informais aussi sur l'implantations des montagnes dans la terre. J'y découvrais que la théorie moderne de la tectonique des plaques considérait, que « les montagnes agissent en tant que stabilisateurs de la terre » et, dans le Coran, je lisais : « Il a implanté des montagnes immobiles dans la terre afin que celle ci ne branle pas.» Je ne disais : « Comment un être humain aurait il pu découvrir il y a plus de mille quatre cents ans ce que des scientifiques ont mis a jours il y a à peine cinquante ans ? » Comme un chercheur passionné, je surfais de pages en pages â la recherche d'informations. Plus je lisais, plus j'étais gagné par une certitude : celle que Dieu Lui même avait écrit ce livre et l'avait révélé aux humains. Dieu le Tout Puissant avait donné aux hommes un livre pour les guider et personne ne me l'avais dit ? Était ce possible ? Était-il acceptable que ce livre se trouve dans tant de foyers ou je m'étais rendu et que personne ne m'en ai jamais parlé ? Une fraction de seconde, j'en ai voulu à la terre entière et à tous les Arabes que je connaissais. Mais je me suis aussitôt reprise : « C'est de ta faute, Mélanie. Dix ans que ce livre était chez toi, dans ta bibliothèque, et tu ne l'as jamais ouvert. tu n'as même pas daigné lui accordé cinq minute de ton attention. Quand tu dévorais d'autre livres en moins de quelques heures, celui ci prenait la poussière sur tes étagères.»
J'ai cessé de réfléchir une minute puis...
J'ai pleuré. Pleuré. Pleuré.
Jamais je n'est autant pleuré.
Durant des heures j'ai pleuré ma vie, mes erreurs, mon ingratitude envers mon Seigneur qui m'avait tant donné et que je n'avais jamais remercié, mon ignorance, mes mois de déchéance, mais surtout j'ai pleuré mon aveuglement et toute cette vie sans saveur, toutes ces heures, ces années passées sous un ciel que je ne prenais pas le temps de regarder."


Extrait du livre de Melanie Georgiades

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