Le prophéte mouhammad (paix et salut sur lui) a dit : « La meilleure eau sur terre est celle du zamzam ; elle est nutritive et curative ». (Sahih al-Djami, 3302) ;
Il a été rapporté de façon sûre que le prophéte mouhammad (paix et salut sur lui) en but, fit ses ablutions et en déversa sur sa tête. Il avait l’habitude d’en emporter dans des outres et bacs, il en abreuvait les malades et les en aspergeait (As-Silsila as-sahiha, 883)
Les compagnons dirent : « nous l’appelions « la nourricière » et y trouvions un excellent soutien pour la famille (cela veut dire qu’elle remplaçait la nourriture et en tenait lieu pour les enfants.» (as-silsila as-sahiha par al-Albani, 2685) ;
Le prophéte mouhammad (paix et salut sur lui) disait : « l’eau de zamzam est utile à tout ce pourquoi elle est bue .» (Rapporté par Ibn Madja, 3062).
L’eau de « Zamzam » est au sommet des eaux, car elle est la plus noble, la plus glorieuse, la plus estimée, la plus onéreuse et la plus précieuse, car elle a été creusée par l’Ange Djibrîl (’alayhi as-salam) et a désaltéré Ismâ-îl (’alayhi as-salam).
Dans les deux Sahîh [al-Bukhârî et Muslim] il est rapporté que le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) a dit à Abî Dhar lorsqu’il a séjourné quarante jours et quarante nuits entre la Ka’bah et ses limites, ne disposant d’autre nourriture que l’eau de Zamzam : « Elle est une nourriture entière ». Et Muslim ajouta : « Elle est une nourriture des maladies ».
Dans les « Sounans » de Ibn Mâdja sont mentionnées ces paroles de Djâbir Ibn ’Abdullâh (radhiallâhu ’anhu), rapportant du Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) qu’il a dit : « L’eau de Zamzam convient à tout chose ». L’authenticité de ce hadîth a été affaiblie par un groupe [de savant] du fait de son rapporteur ’Abdullâh Ibn al-Mouamal.
[…]
D’après l’expérience de certains, j’ai essayé de me soigner avec l’eau de « Zamzam » et l’expérience fut convaincante pour beaucoup de maladies dont j’ai été guéri de manière miraculeuse par la grâce d’Allâh. J’ai également vu des personnes se nourrir d’eau de « Zamzam », tout au long d’un demi-mois ou d’un mois entier sans éprouver la moindre faim, participant au Tawaf [autour de la Ka’bah] au même titre que le reste des gens, et [ces personnes] m’ont raconté qu’elles auraient pu demeurer ainsi quarante jours tout en préservant la force d’avoir des rapports sexuels avec leurs femmes, de jeûner et de faire le Tawaf [autour de la Ka’bah] à plusieurs reprises. [1]
[1] Zâd ul-Mi’âd fî hadî kheyr al-’Ibâd de Ibn al-Qayyîm, 4/392-393