Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

« On ne connaît pas la vérité par les hommes, mais connais donc la vérité, et après tu connaîtras ceux qui la suivent. »


Les passions trompeuses

Publié par convertistoislam - l'islam pour tous sur 28 Octobre 2010, 20:05pm

Catégories : #LA CROYANCE ISLAMIQUE

 

rose rouge amour fleurLe désir des sens le plus ordinaire est celui que les femmes éveillent. Il suffit q’un homme voit une femme vêtue de ses vêtements pour qu’il l’imagine plus belle que son épouse. Quand il s’imagine les femmes les plus belles dans lesquelles il ne voit que ce qu’il y a de beau, il fait tout pour se marier ou pour prendre une concubine. Mais lorsqu’il en a obtenu ce qu’il voulait, il passe son temps à énumérer ses défauts, défauts auxquels il n’avait pas réfléchi auparavant. Il se lasse alors et se lance vers autre chose. Il ne sait pas que la satisfaction superficielle de ses désirs renferme parfois des tourments.


Par exemple, lorsque la deuxième [femme] n’a pas de religion, d’intelligence, de tendresse ou de motivation : il perd ainsi plus qu’il gagne. C’est la raison des bassesses dans lesquelles tombe le mari adultère. En effet, quand il tient compagnie à une femme dont les défauts sont maquillés et les charmes révélés, il apprécie ce moment. Puis déçus [plus tard], il va voir d’autre. L’homme raisonnable doit savoir qu’il n’est pas possible d’atteindre à une satisfaction complète.


« Ne donnez pas ce que vous-mêmes n’accepteriez qu’en fermant les yeux ! ». Coran, 2/268


Et l’on n’a pas mieux dévoilé le défaut des femmes de ce bas monde que de ce verset :

« Ils auront là [dans l’au-delà] des épouses pures ». Coran, 2/25


L’homme intelligent fuit ce qui est impur dans le domaine matériel, et les vices, dans le domaine moral. Qu’il se contente donc de ce qu’il a, il vivra ainsi dans les délices de la pensée et le bonheur du cœur. Mais si par contre, il multiplie les expériences, il multipliera par-là les préoccupations de son cœur et ce qui affaiblira sa foi.  Kitâb « Sayd ul-Khâtir » de Ibn al-Djawzî, p.313


source

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :