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« On ne connaît pas la vérité par les hommes, mais connais donc la vérité, et après tu connaîtras ceux qui la suivent. »


Les fêtes d'anniversaire, fête des mères, le mawlid ...

Publié par convertistoislam - l'islam pour tous sur 21 Juin 2009, 01:29am

Catégories : #AVERTISSEMENT

La célébration des anniversaires

 

anniversaire.jpg

 

Louange à Allah, et que la paix et la bénédiction soient sur le Messager d’Allah, sur sa famille, ses Compagnons et ceux qui ont suivi sa guidée.

 

J’ai pris connaissance des propos publiés par le journal Al-Madîna, dans son numéro datant du lundi 28/12/1410, qui étaient tenus par le frère Jamâl Muhammad Al-Qâdhî. Ce dernier déclare avoir vu une émission du programme Abnâ-ul-Islâm diffusé par la chaîne de télévision saoudienne, et dans laquelle était fêtée un anniversaire. Le frère Jamâl demanda alors : « Est-il autorisé dans l’islam de célébrer les anniversaires ? », etc.

 

R : Il n’y a aucun doute qu’Allah, exalté et Elevé soit-Il, a prescrit deux fêtes pour les musulmans, dans lesquelles ils se rassemblent pour la prière et le rappel. Ces deux fêtes sont la fête de la rupture du jeûne (‘Aïd ul-Fitr) et celle du sacrifice (‘Aïd ul-Adhâ) qui remplacent les fêtes de la période pré-islamique (al-Jâhiliyya). De même, Il a prescrit des fêtes contenant différentes sortes de rappels et d’adoration, comme le jour du vendredi, de ‘Arafât, et les 3 jours suivants la fête du sacrifice (Ayyâm-ut-Tachrîq). Et Allah, exalté et elevé soit-Il, n’a jamais prescrit pour nous la célébration d’anniversaires, ou celle de l’anniversaire du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, ou celle de toute autre personne. Les preuves religieuses du Coran et de la Sunna ont plutôt montré que la célébration des anniversaires fait partie des innovations inventées dans la religion, et de l’imitation des ennemis d’Allah parmi les juifs, les chrétiens et les autres. Il est donc du devoir des musulmans de délaisser cette pratique, de s’en écarter, de réprouver ceux qui l’adoptent, de ne pas éditer ou diffuser ce qui encourage cette pratique ou qui sous-entend sa légitimité, que ce soit à la radio, dans les journaux ou à la télévision, conformément à la parole du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, dans le hadith authentique :

 

« Quiconque innove dans notre religion une chose qui n’en fait pas partie, cette chose sera rejetée » 

Rapporté par Al-Bukhârî, chapitre de la réconciliation, n°2697 et Muslim, chapitre des jugements, n°1718.

 

ainsi que sa parole :

 

« Quiconque commet un acte pour lequel un ordre de notre part n’a pas été donné, son acte sera rejeté. »

 Rapporté par Al-Bukhârî, avec une chaîne de rapporteurs coupée à la base (Mu’allaq), chapitres des ventes et de l’attachement ferme au Coran et à la Sunna. Rapporté aussi par Muslim avec la chaîne de rapporteurs intégrale, chapitre des jugements, 1718-18.

 

Ce hadith a été rapporté par Muslim dans son Sahîh, et a été cité sans chaîne de rapporteurs (Mu’allaq) mais de façon catégorique par Al-Bukhârî. Dans le Sahîh de Muslim, d’après Jâbir, qu’Allah l’agrée, qui rapporte d’après le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, qu’il disait lors du prêche du vendredi :

 

« En outre, la meilleure des paroles est le livre d’Allah, et la meilleure des voies est la voie de Muhammad, prière et salut d’Allah sur lui, et les pires choses sont celles inventées, et toute innovation est un égarement. »

 Rapporté par Muslim, chapitre de la prière du vendredi, n°867.

 

Et les hadiths allant dans ce sens sont nombreux. De même, dans le Musnad d’Ahmad avec une bonne chaîne de rapporteurs d’après Ibn ‘Umar, qu’Allah les agrée, lui et son père, le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, a dit :

 

« Quiconque imite un peuple en fait partie. » Rapporté par Ahmad (2/50,92).

 

Dans les deux Sahîh, d’après Abû Sa’îd, qu’Allah l’agrée, le Prophète a dit :

 

« Vous suivrez certes à la trace les voies de ceux qui vous ont précédés… »

 

et selon une autre version :

 

« Vous les suivrez empan par empan, et coudée par coudée… au point où même s’ils entraient dans le repaire d’un lézard vous y entreriez. »

 

Les Compagnons dirent : « Ô Messager d’Allah, s’agit-il des juifs et des chrétiens ? » Il répondit :

 

« De qui d’autres pourrait-il s’agir ? » 

 

Rapporté par Al-Bukhârî, chapitre des histoires des prophètes, n°3456 et Muslim, chapitre la science, n°2669.

 

D’autres hadiths dans le même ordre d’idée indiquent l’obligation de prendre garde à ne pas ressembler aux ennemis d’Allah dans leurs festivités et autres. Donc, la plus honorable des créatures et la meilleure d’entre elles est notre Prophète Muhammad, prière et salut d’Allah sur lui. Malgré cela, il n’a pas fêté son anniversaire une seule fois durant sa vie. Ses Compagnons ne l’ont pas non plus fêté après lui, qu’Allah les agrée, ni ceux qui les ont suivis de la meilleure manière parmi les trois premières générations les plus méritantes. Si vraiment la célébration de son anniversaire, ou celui d’une autre personne avait été un bien, ces gens honorables nous auraient précédés dans sa pratique, et le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, l’aurait enseigné à sa communauté, l’y aurait encouragé ou l’aurait pratiqué lui-même. Ainsi, étant donné que rien de tout ça n’a eu lieu, nous en déduisons que la célébration des anniversaires fait partie des innovations inventées dans la religion qu’il faut délaisser et dont il faut se préserver, conformément aux ordres d’Allah, exalté soit-Il, et ceux de Son Prophète, prière et salut d’Allah sur lui.

 

De plus, certains savants ont affirmé que les premières personnes à avoir introduit la célébration des anniversaires sont les chiites fâtimides au quatrième siècle de l’Hégire. Certaines personnes se réclamant de la Sunna les ont suivis dans cette innovation, par ignorance et par imitation des chiites, des juifs et des chrétiens. Puis, cette innovation s’est propagée parmi les gens. Il est donc du devoir des savants musulmans de clarifier la loi d’Allah concernant ces innovations, de les réprouver, de mettre en garde les gens, en raison des conséquences néfastes qui en découlent, telles que la propagation des innovations et la disparition de la Sunna, l’imitation des ennemis d’Allah parmi les juifs, les chrétiens et autres sortes de mécréants qui ont l’habitude de célébrer de telles festivités. Les savants ont écrit des ouvrages à ce sujet, par le passé et à présent, et ils ont clarifié le décret d’Allah au sujet de ces innovations. Qu’Allah les récompense, et qu’Il nous permette de faire partie de ceux qui les suivent de la meilleure manière.

 

Ces quelques mots sont donc un rappel pour les lecteurs concernant cette innovation, afin que cette question soit claire pour eux. J’ai d’ailleurs écrit un long article à ce sujet qui a été publié dans divers journaux régionaux et d’autres, à maintes reprises. Il n’y a aucun doute qu’il est du devoir des responsables du gouvernement et du Ministère de l’Information en particulier, de même que les responsables dans tous les états musulmans, d’interdire la diffusion de ces innovations, d’empêcher la propagande en leur faveur, ou la diffusion de ce qui sous-entend sa légitimité. C’est un devoir de prodiguer le conseil pour Allah et Ses serviteurs, et de remplir la mission qu’Allah nous a confiée concernant la réprobation du mal, afin de participer à l’amélioration de la situation des musulmans et la purification de ce qui contredit la Loi divine purifiée.

 

C’est Allah que nous invoquons, de par Ses plus beaux Noms et Ses Attributs les plus élevés, afin qu’Il améliore la situation des musulmans, qu’Il les aide à s’attacher fermement à Son Livre et à la Sunna de Son Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, et être vigilants envers tout ce qui contredit ces deux sources. Nous L’implorons aussi afin qu’Il améliore leurs dirigeants et qu’Il les aide à appliquer la loi d’Allah (Sharî’a) entre Ses serviteurs et à combattre tout ce qui la contredit. Il est certes Celui qui S’en charge et Il est Capable de toutes choses.

 

… Et que la bénédiction et la paix soient sur notre Prophète Muhammad, sa famille et ses Compagnons.

 

Cheikh Ben Baz


 

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Règle sur la célébration de la fête des mères

 


Question: Tous les ans, nous célébrons un jour spécial les 21 mars connu sous le nom de fête des mères; des fêtes sont organisées par les gens. Est-ce permis ou interdit, et doit la fêter ou pas, et offrir des cadeaux?

Réponse: Chaque fête contredisant les fêtes islamiques est une innovation récente qui n’était pas connu à l’époque des pieux salafs. Cela peut venir des non musulmans à l’origine, dans ce cas, en plus d’être une innovation, c’est une imitation des ennemis d’Allah, Le Glorifié, Le Très Haut.

Les fêtes légales sont bien connues pour les musulmans; elles sont: 'Eid Al-Fitr, 'Eid Al-Adhha et le 'Eid hebdomadaire (c'est-à-dire le vendredi). Il n’y a pas d’autre fête en islam en dehors de ces trois là. Chaque 'Eid innovée en addition à celles-ci est rejetée de la part de ses innovateurs et est invalide aux yeux de la loi d’Allah, Le Glorifié, Le Très Haut, d’après le Hadith du Prophète (Salallahou ‘aleyhi wa salam) qui dit: “Quiconque innove dans nos affaires ce qui n’y appartient pas, verra son innovation rejetée ” (Al-Boukhari no. 2697 et Mouslim no. 1718).

Ce qui veut dire que ce sera rejeté sur lui et non accepté par Allah. Et dans une autre narration: “Quiconque fait un acte qui n’est pas de nos affaires, le verra rejeté ” (Mouslim no. 1718).

Puis que ceci est clair, il n’est pas permis dans la fête mentionnée par la dame qui pose la question – que l’on appelle la fête des mères – d’innover quoi que ce soit des symboles du 'Eid, de montrer de la joie par exemple, de donner des cadeaux etc..



Il incombe au musulman d’être fier de sa religion, de s’en satisfaire, et de se confiner aux limites posées par Allah et Son Messager (Salallahou ‘aleyhi wa salam) dans cette estimée religion qu’Allah, Le Très Haut a choisi pour ses adorateurs. On ne doit rien y ajouter ni rien y soustraire. Il incombe aussi au musulman de pas être un pleurnicheur insensé, suivant n’importe qui; plutôt, il doit former sa personnalité conformément à la loi d’Allah, Le Glorifié, Le Très Haut, afin de devenir un leader, pas un suivant, et afin de devenir un bon exemple, non pas celui qui suit l’exemple des autres. Ceci, parce que la loi d’Allah est complète – Louanges à Allah – en tout point, comme Allah dit : “Aujourd'hui, J'ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait. Et J'agrée l'Islam comme religion pour vous” (Al-Ma'idah 5: 3).

La mère a le droit d’être honorée plus d’une fois dans l’année; en fait, la mère à le droit que ses enfants s’occupent d’elle, de ses besoins, lui obéissent en tout point en tout temps et en tout lieu, tant que cela n’entraîne pas de désobéissance à Allah, Le Tout Puissant, Le Majestueux.

Ibn 'Uthaimin

 

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Q : Qu’en est-il de la célébration de la naissance du Prophète ?

 

R : Premièrement : La nuit de la naissance du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, n’est pas connue de façon certaine. D’ailleurs, certains chercheurs contemporains en sont arrivés à la conclusion qu’il s’agissait de la nuit du 9 Rabi’ Al-Awwal et non du 12. Ainsi, célébrer la naissance du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, la nuit du 12 n’a pas de base du point de vue historique.

 

Deuxièmement : Du point de vue religieux, cette célébration n’a point de source non plus, car si cela faisait partie de la Loi divine, le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, l’aurait fait ou l’aurait enseigné à sa communauté. Si effectivement il l’avait fait ou enseigné, cette information aurait nécessairement été conservée, car Allah le Très-Haut dit :

 

« En vérité c’est Nous qui avons fait descendre le Coran, et c’est Nous qui en sommes gardien. »

 

 Etant donné que rien de tout cela n’est arrivé, nous en déduisons donc que cela ne fait pas partie de la religion d’Allah. En se basant sur cela, il n’est pas permis d’adorer Allah – Exalté soit-Il –  ou de se rapprocher de lui par ce moyen. Sachant qu’Allah le Très-Haut a mis en place pour nous une voie particulière – qui est ce qui a été révélé au Prophète, prière et salut d’Allah sur lui – pour arriver à Lui, comment pouvons-nous nous permettre, alors que nous ne sommes que Ses serviteurs, de mettre en place par nous-mêmes une voie nous permettant d’arriver à Lui ? C’est un crime à l’égard du droit d’Allah, exalté soit-Il, que de légiférer dans sa religion ce qui n’en fait pas partie. De même, cela implique que l’on traite de mensonge la parole d’Allah, exalté soit-Il :

 « Aujourd’hui, J’ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait. »

Nous disons donc que si cette célébration fait partie du parachèvement de la religion, il aurait fallu qu’elle soit antérieure à la mort du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui. Si ce n’est pas le cas, elle ne peut donc faire partie de la religion, car Allah le Très Haut dit :

 

 « Aujourd’hui j’ai parachevé pour vous votre religion. »

 

Et quiconque prétend que cette célébration fait partie du parachèvement de la religion et qu’elle est apparue après le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, son affirmation implique que le noble verset précédent est un mensonge. Il n’y a aucun doute que ceux qui célèbrent la naissance du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, ont pour intention de l’honorer, de manifester leur amour pour lui, de raviver les sentiments à son égard lors de ces festivitéset tout ceci fait partie des adorations. L’amour du Prophète est une adoration, au point où la foi d’une personne n’atteint la perfection que lorsque le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, devient plus cher à ses yeux que sa propre âme, ses enfants, son père et toute l’humanité.

 

 De même, la vénération du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, est une adoration. Tous les sentiments à son égard font aussi partie de la religion, car ceux-ci incitent la personne à mettre en pratique la législation prophétique. Ainsi, la célébration de la naissance du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, avec l’intention de se rapprocher d’Allah et de vénérer son Prophète, est une adoration. Sachant que c’est une adoration, il n’est donc aucunement permis d’inventer dans la religion ce qui n’en fait pas partie. Ainsi, la célébration de la naissance du Prophète est une innovation et est interdite.

 

 

En outre, nous avons entendu dire qu’il existe dans ces célébrations de grandes transgressions que ni la Loi divine, l’instinct ou la raison humaine ne tolèrent. Ainsi, les gens chantent des poèmes comportant de l’exagération dans la vénération du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, au point de le rendre plus grand encore qu’Allah lui-même - qu’Allah nous en protège. Nous avons aussi entendu parlé de la sottise de certains d’entre eux qui, lorsque le conteur narre la vie du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, puis prononce la phrase : « Le Prophète est né », ils se lèvent tous comme un seul homme en disant : « L’âme du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, est présente, nous nous levons donc par déférence pour elle. » Ceci n’est que sottise. En outre, il ne fait pas partie des bonnes mœurs de se lever, car le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, détestait que l’on se lève pour lui. Ainsi, ses Compagnons – qui sont les êtres qui l’aiment le plus et le vénèrent bien plus que nous encore – ne se levaient pas pour lui car ils savaient qu’il détestait cela de son vivant… que dire donc de ces divagations ?

  • Cheikh Otheimine
  • Magazine al-Mujâhid, n°22.

 

 

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Parmi les actes également réprouvés: les cérémonies d’anniversaires, qu’elles soient en l’honneur du Prophète ou autre personne; car le Prophète ne l’a jamais fait, ni les califes bien guidés, ni les autres compagnons (qu’Allah les agrée tous) ni leurs pieux successeurs des trois premiers siècles, au sujet desquels le Prophète a dit: «Les meilleures personnes sont celles de mon siècle, puis de celui qui le suit, puis de celui qui le suit

 

Donc ce sont les trois meilleurs siècles de l’islam.

 

Ces cérémonies n’ont été inventées qu’au quatrième siècle de l’islam et suivants, sous la dynastie des Fâtimides et autres sectes chiites ; puis ensuite certains Sunnites les ont imités, par ignorance et en suivant aveuglement les innovateurs.

 

C’est donc une obligation de mettre en garde contre ces actes car ce sont des innovations blâmables au sujet desquelles le Prophète a dit: «Prenez garde aux actes innovés ! Car toute innovation est une hérésie, et toute hérésie est un égarement » (Nassai sahih)

 

Et aussi: «Quiconque innove dans notre religion ce qui n’en fait pas partie, alors son acte est rejeté.» (c’est à dire non accepté) (Boukhari et Mouslim)

 

Et encore: «Quiconque accomplit un acte ne faisant pas partie de notre religion, alors son acte est rejeté !» Mouslim

 

Il disait dans ses sermons: «La meilleure des paroles est la parole d’Allah, la meilleure des voies à suivre c’est la voie de Mouhammad (Paix et Salut pour lui) et les pires oeuvres sont les innovations, et toute hérésie est un égarement.» (Mouslim d’après Jabir ibn ‘Abdillah (qu’Allah les agrées)

 

En effet les cérémonies d’anniversaires constituent un intermédiaire vers l’excès et l’exagération, et peuvent mener à l’association. Il faut donc avertir les gens, leur conseiller de pratiquer correctement la Sounnah et d’abandonner tout ce qui s’y oppose.

 Cheîkh ‘Abdel-‘Aziz Ibn’Abdi-llâh ibn Baz

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